Publié le 15 mars 2024

En résumé :

  • Chaque ligne sur un terrain de football délimite une « zone magique » avec ses propres règles et ses propres pouvoirs pour les joueurs.
  • La surface de réparation est la zone la plus importante : c’est là que le gardien peut utiliser ses mains et que les penalties peuvent être sifflés.
  • Des lignes comme le rond central ou l’arc de cercle ne sont pas décoratives, elles servent à garantir le respect des distances à des moments clés du jeu (engagement, penalty).
  • La technologie (VAR, Goal-Line Technology) est aujourd’hui indispensable pour aider les arbitres à juger si le ballon ou un joueur a franchi ces lignes cruciales.

Quand on arrive pour la première fois sur un grand terrain de football, on peut être un peu impressionné. Toutes ces lignes blanches qui s’entrecroisent sur l’herbe verte… on dirait un immense dessin géométrique ! On sait qu’elles sont importantes, mais à quoi servent-elles vraiment ? Pourquoi ce grand rectangle devant le but ? Et ce cercle au milieu du terrain ? C’est facile de se sentir perdu, comme si on ne connaissait pas le code secret du jeu.

Bien sûr, on pourrait lire les lois du jeu officielles de la FIFA, des documents très sérieux et un peu compliqués. Mais la vérité, c’est que le football est avant tout un jeu, et comprendre le terrain devrait être amusant. Oublions les textes de loi et les termes techniques. Et si on voyait le terrain différemment ? Si on l’imaginait comme une carte au trésor, où chaque ligne est une frontière qui mène vers une zone aux pouvoirs spéciaux ?

C’est exactement ce que nous allons faire. Cet article n’est pas un règlement, c’est une visite guidée. Nous allons nous promener ensemble sur le terrain, nous arrêter sur chaque ligne, et je vais t’expliquer, simplement, le secret et le rôle de chaque zone. Tu verras qu’une fois que tu auras compris la logique du terrain, beaucoup de règles du football deviendront limpides. Prêt ? Allons explorer cette carte de jeu grandeur nature !

Pour t’aider à naviguer dans notre exploration, voici le plan de notre visite. Tu pourras cliquer sur chaque partie pour y aller directement ou revenir en arrière.

Les dimensions d’un terrain de foot peuvent-elles vraiment varier ? Le règlement de la FIFA décrypté

Alors, première question que tu te poses peut-être : est-ce que tous les terrains de foot ont exactement la même taille ? La réponse est… non ! C’est une surprise pour beaucoup de monde. Le football est l’un des rares sports où le terrain n’a pas de dimensions fixes et uniques. Les règles officielles permettent une certaine flexibilité, ce qui est assez unique. Un terrain réglementaire peut ainsi avoir une surface qui varie de 4 050 m² pour les plus petits à 10 800 m² pour les plus grands. C’est presque du simple au triple !

Cette différence s’explique par l’histoire du football. Chaque club avait son propre terrain avec ses propres dimensions. Pour pouvoir jouer les uns contre les autres, il a fallu établir une fourchette acceptable plutôt que d’imposer une taille unique qui aurait obligé tout le monde à reconstruire son stade. Mais alors, comment font les professionnels pour que les matchs soient équitables ?

Pour les grandes compétitions, comme la Coupe du Monde ou la Ligue des Champions, les choses sont beaucoup plus strictes. Une taille standard s’est imposée pour garantir que toutes les équipes jouent dans les mêmes conditions.

Étude de cas : La norme européenne de 105 x 68 mètres

Pour éviter les disparités, la plupart des grands clubs européens ont adopté une dimension quasi universelle pour leur pelouse. Le terrain de 105 mètres de long sur 68 mètres de large est devenu la référence dans les stades les plus célèbres. C’est la taille utilisée en Ligue des Champions et pour la majorité des matchs de Ligue 1 en France. Cette standardisation assure une équité sportive et facilite l’adaptation des joueurs qui passent d’un stade à un autre. C’est un peu comme si tout le monde s’était mis d’accord sur la « taille parfaite » pour le beau jeu.

En réalité, même si les dimensions peuvent varier, tu joueras presque toujours sur un terrain rectangulaire, avec les lignes de touche (les plus longues) et les lignes de but (les plus courtes). C’est la base de notre carte de jeu.

La Goal-Line Technology : comment cette technologie a mis fin à des décennies d’injustice ?

Regardons maintenant la ligne la plus importante du terrain : la ligne de but. C’est celle qui se trouve entre les deux poteaux. Pour qu’un but soit validé, le ballon doit la franchir entièrement. Pas à moitié, pas aux trois quarts, mais complètement ! Pendant des décennies, cette règle a provoqué des débats sans fin et des injustices terribles. Un arbitre, même très bien placé, ne peut pas toujours être certain à 100% que le ballon a entièrement franchi la ligne. On parle de décisions qui se jouent à quelques centimètres !

Pour mettre fin à ces polémiques, une technologie incroyable a été mise en place : la Goal-Line Technology (GLT). Imagine plusieurs caméras ultra-rapides installées tout autour du but. Elles filment la ligne en permanence et, grâce à un ordinateur, elles peuvent déterminer au millimètre près si le ballon a franchi la ligne. Si c’est le cas, l’arbitre reçoit un signal sur sa montre en moins d’une seconde. C’est instantané et infaillible. Fini les buts fantômes !

En France, l’adoption de cette technologie a été un grand pas en avant. Comme le disait à l’époque le président de la Ligue de Football Professionnel pour justifier cet investissement :

Vu la baisse des prix qui est considérable, j’ai considéré que la France n’avait pas le droit de rester à l’écart du mouvement, puisque l’Allemagne, l’Angleterre, s’y lancent.

– Frédéric Thiriez, Président de la LFP en 2015

Cette décision a certes eu un coût, estimé à environ 200 000€ par stade lors de son introduction, mais elle a apporté une équité et une sérénité qui n’ont pas de prix. Grâce à la GLT, on est sûr que quand l’arbitre valide un but, c’est qu’il y a vraiment but.

La surface de réparation : une zone de tous les dangers aux règles bien précises

Maintenant, approchons-nous de la zone la plus « magique » et la plus redoutée du terrain : la surface de réparation. C’est ce grand rectangle qui mesure 16,5 mètres de profondeur sur 40,32 mètres de largeur. On l’appelle souvent « la surface » ou « les 16 mètres 50 ». C’est une véritable zone de super-pouvoirs et de tous les dangers. Pourquoi ? Parce qu’à l’intérieur de ces lignes blanches, deux règles fondamentales du football changent complètement !

Premièrement, c’est la maison du gardien de but. C’est la seule et unique zone du terrain où il a le droit de toucher, de prendre et de boxer le ballon avec ses mains et ses bras. Dès qu’il sort de cette zone, même d’un centimètre, il devient un joueur comme les autres et ne peut plus utiliser ses mains. Cette ligne est donc une frontière cruciale pour lui.

Deuxièmement, et c’est ce qui la rend si dangereuse pour l’équipe qui défend, c’est la zone des penalties. Si un défenseur commet une faute sur un attaquant à l’intérieur de sa propre surface de réparation (un tacle dangereux, une poussette, une main…), la sanction est terrible : l’arbitre siffle un penalty. C’est une occasion de but en or pour l’équipe adverse. Cela explique pourquoi les attaquants cherchent à y entrer et pourquoi les défenseurs doivent y être extrêmement prudents. D’après l’Observatoire du football CIES, en Ligue 1, il y a en moyenne un penalty toutes les 245 minutes de jeu, ce qui montre à quel point ces situations sont fréquentes et décisives.

À l’intérieur de cette grande surface, tu trouveras aussi la « surface de but » (le petit rectangle), qui délimite la zone de protection du gardien sur les sorties de but, et bien sûr, le fameux point de penalty. Ce petit rond blanc est placé à exactement 11 mètres de la ligne de but.

La VAR : comment fonctionne-t-elle et dans quels cas précis peut-elle intervenir ?

Même avec les lignes les mieux tracées et des arbitres concentrés, le football est un sport qui va très vite. Une action peut être confuse, rapide, et il est parfois humainement impossible de prendre la bonne décision en une fraction de seconde. C’est pour cela qu’un autre outil technologique a fait son apparition : la VAR, ou l’Assistance Vidéo à l’Arbitrage. Pense à la VAR comme à un « ange gardien » pour l’arbitre central.

Dans un car ou une salle spéciale, d’autres arbitres regardent le match sur de multiples écrans avec tous les ralentis possibles. Si une situation très importante et litigieuse se produit, ils peuvent appeler l’arbitre central pour qu’il vienne vérifier les images lui-même sur un écran au bord du terrain. En France, ce système a été perfectionné.

Étude de cas : La centralisation de la VAR en France

Au début, les arbitres vidéo étaient dans un car juste à côté du stade. Mais pour améliorer la cohérence des décisions, le système a évolué. Comme l’explique une analyse sur le sujet, les arbitres assistants vidéo sont aujourd’hui rassemblés dans un « vidéo center » à Paris. Cela permet de s’assurer que les décisions sont prises de la même manière sur tous les terrains de Ligue 1, avec des équipes d’arbitres qui travaillent ensemble et se forment en continu.

Mais attention, la VAR ne peut pas intervenir pour tout et n’importe quoi ! Elle a une mission très précise et ne vérifie que quatre types de situations qui peuvent changer le cours d’un match :

  • La validité d’un but : Y avait-il une faute ou un hors-jeu juste avant que le ballon ne rentre ?
  • Les situations de penalty : Y avait-il vraiment faute dans la surface ou non ?
  • Les cartons rouges directs : Une faute méritait-elle une expulsion directe ?
  • L’identité d’un joueur : Pour être sûr de ne pas donner un carton au mauvais joueur.

La VAR n’est pas là pour re-arbitrer tout le match, mais pour corriger les erreurs claires et évidentes dans ces quatre cas. C’est une aide précieuse pour rendre le jeu plus juste.

À quoi servent le rond central et l’arc de cercle devant la surface ?

Éloignons-nous des buts et retournons au cœur du terrain. Tu vois ce grand cercle au milieu ? C’est le rond central. Et cet arc de cercle dessiné juste à l’entrée de la surface de réparation ? Ce ne sont pas des décorations ! Ces deux lignes ont un rôle très similaire : elles sont des « cercles de respect ». Elles garantissent que les joueurs adverses restent à bonne distance à des moments clés du jeu.

Le rond central est essentiel pour le coup d’envoi. Au début de chaque mi-temps ou après un but, le ballon est placé sur le point central. L’équipe qui engage peut avoir un ou deux joueurs à l’intérieur du cercle. Par contre, tous les joueurs de l’équipe adverse doivent obligatoirement rester à l’extérieur du rond central jusqu’à ce que le ballon soit touché. C’est une règle de base pour que l’engagement se fasse dans le calme et de manière équitable. Le rayon de ce cercle est très précis : 9,15 mètres.

Et l’arc de cercle devant la surface de réparation, alors ? Il a exactement la même fonction, mais pour les penalties. Lorsque qu’un joueur s’apprête à tirer un penalty depuis le point situé à 11 mètres, tous les autres joueurs (de son équipe comme de l’équipe adverse) doivent se trouver en dehors de la surface de réparation, mais aussi à au moins 9,15 mètres du ballon. Cet arc de cercle matérialise cette distance de sécurité. Il empêche les joueurs de se ruer trop vite vers le ballon avant que le penalty ne soit tiré.

Tu l’auras remarqué, cette distance de 9,15 mètres (ou 10 yards dans l’histoire du football britannique) est une mesure clé. On la retrouve pour le rond central, l’arc de cercle et aussi pour la distance du « mur » sur un coup franc. Selon les normes FIFA, le rayon de 9,15 mètres pour ces deux zones est une constante universelle. C’est une des mesures les plus importantes du football !

Le hors-jeu expliqué à ma mère : la règle la plus débattue du football enfin clarifiée

Ah, le hors-jeu… la règle qui donne des maux de tête même aux plus grands supporters ! Mais ne t’inquiète pas, on va la simplifier. Imagine que c’est un jeu de « 1, 2, 3, soleil ». Ce qui compte, ce n’est pas où tu es quand tu reçois le ballon, mais où tu étais au moment précis où ton coéquipier a fait la passe. C’est la photo finish !

Pour être hors-jeu, trois conditions doivent être réunies au moment de la passe :

  1. Tu dois être dans la moitié de terrain adverse.
  2. Tu dois être plus proche de la ligne de but adverse que le ballon.
  3. Tu dois être plus proche de la ligne de but adverse que l’avant-dernier défenseur (le dernier étant souvent le gardien).

Si ces trois conditions sont remplies, tu es en « position de hors-jeu ». Mais ce n’est pas encore une faute ! Pour que l’arbitre siffle, il faut que tu participes activement à l’action (en touchant le ballon, en gênant un adversaire, etc.). Si tu es en position de hors-jeu mais que tu restes immobile loin de l’action, le jeu continue.

Avec l’arrivée de la VAR, la manière de siffler le hors-jeu a un peu changé. Avant, l’arbitre assistant levait son drapeau immédiatement. Maintenant, on lui demande d’attendre la fin de l’action. Cela permet à la VAR de vérifier tranquillement avec des lignes 3D si le hors-jeu était réel ou non. C’est ce qui donne parfois des situations étranges où un but est célébré puis annulé quelques instants plus tard.

Ton plan d’action pour devenir un pro du hors-jeu

  1. Position du joueur : Au moment de la passe, regarde si l’attaquant est plus près du but que le ballon ET que l’avant-dernier adversaire.
  2. Moment crucial : Ignore où l’attaquant reçoit le ballon. Fige l’image dans ta tête au moment EXACT où le passeur tape dans la balle. C’est ce moment qui compte.
  3. Participation active : L’attaquant en position illicite touche-t-il le ballon ou gêne-t-il le gardien ? Si non, il n’y a pas faute.
  4. Signe de la VAR : Vois-tu l’arbitre assistant lever son drapeau en retard ? C’est le signal qu’il laisse la VAR vérifier l’action pour ne pas commettre d’erreur.
  5. Décision finale : Fais confiance aux lignes 3D tracées par la VAR. Elles permettent des décisions au millimètre près, même si cela paraît parfois cruel.

Corner, coup franc, penalty : à chaque faute sa sanction

Sur un terrain de foot, toutes les « bêtises » (les fautes) ne sont pas punies de la même manière. La sanction dépend beaucoup de l’endroit où la faute a été commise. Les lignes du terrain servent justement à déterminer la gravité de la sanction. On distingue principalement trois types de « reprises de jeu » après une faute ou une sortie de balle : le corner, le coup franc et le penalty.

Le penalty, on l’a vu, est la sanction suprême. Elle est accordée quand une faute est commise par l’équipe qui défend dans sa propre surface de réparation. Le ballon est posé sur le fameux point de penalty, un petit rond blanc qui, selon les spécifications, doit faire exactement 22 cm de diamètre. Un duel s’engage alors entre le tireur et le gardien.

Le coup franc est la sanction la plus commune. Il est sifflé pour une faute commise n’importe où sur le terrain (en dehors de la surface de réparation de l’équipe qui défend). Le ballon est placé à l’endroit de la faute. Les adversaires doivent alors se tenir à au moins 9,15 mètres du ballon. C’est pour cela que tu vois souvent l’arbitre faire reculer le « mur » des défenseurs.

Enfin, le corner (ou « coup de pied de coin ») n’est pas une punition pour une faute, mais une conséquence. Il est accordé quand l’équipe qui défend envoie le ballon derrière sa propre ligne de but. Pour récompenser l’attaque, le jeu reprend depuis le petit arc de cercle situé au coin du terrain. Tous les adversaires doivent, là encore, se tenir à 9,15 mètres.

Pour y voir plus clair, ce tableau résume les caractéristiques de chaque coup de pied arrêté, comme détaillé dans les lois du jeu officielles du football.

Types de coups de pied et leurs caractéristiques
Type de coup Distance réglementaire Zone d’exécution
Penalty 11 mètres de la ligne de but Point de penalty
Corner Arc de 1 mètre Angle du terrain
Coup franc 9,15 m minimum (mur) Lieu de la faute

À retenir

  • Les lignes du terrain ne sont pas décoratives : elles créent des zones où les règles du jeu changent, donnant des « pouvoirs » spéciaux (au gardien) ou entraînant des sanctions spécifiques (penalty).
  • La surface de réparation est le cœur névralgique du jeu. C’est une « zone de danger » où la moindre faute défensive peut coûter un penalty et où le gardien est roi.
  • La technologie (Goal-Line, VAR) est devenue un allié indispensable des arbitres pour appliquer les règles liées à ces lignes avec une précision millimétrique.

Maintenant, tu es le maître du terrain !

Et voilà, notre visite guidée est terminée ! Tu vois, ce n’était pas si compliqué. Le terrain de football n’est plus un grand dessin mystérieux, mais une véritable carte de jeu dont tu connais maintenant tous les secrets. Chaque ligne, chaque cercle et chaque rectangle a une raison d’être. Ils sont là pour rendre le jeu juste, clair et passionnant. Le rond central pour un départ équitable, la surface de réparation pour définir le territoire du gardien et la zone des penalties, les lignes de touche et de but pour dire quand le ballon est « vivant » ou « mort ».

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Tu as maintenant toutes les clés pour mieux comprendre ce qu’il se passe pendant un match. La prochaine fois que tu regarderas une rencontre à la télévision ou que tu seras sur le bord du terrain, tu ne verras plus seulement des joueurs courir après un ballon. Tu verras des attaquants essayer de pénétrer dans la « zone de danger », des défenseurs faire attention à ne pas commettre de faute à l’intérieur de la frontière fatidique, et un arbitre utiliser les lignes comme son guide le plus précieux.

Le football est un sport riche et stratégique, et une grande partie de cette stratégie se décide par rapport à ces fameux marquages au sol. Ils sont la grammaire du jeu, le langage que tous les joueurs et arbitres du monde entier comprennent. En maîtrisant ce langage, tu ne fais pas que regarder le match, tu le lis.

La meilleure façon de maîtriser tout cela est de pratiquer. Lors de ton prochain entraînement ou du prochain match que tu regarderas, amuse-toi à identifier chaque zone et à te demander pourquoi l’action se déroule de cette manière. Tu verras, le jeu deviendra encore plus passionnant !

Questions fréquentes sur les règles du terrain de football

Le ballon doit-il sortir complètement pour être hors du terrain ?

Oui, le ballon doit dépasser entièrement la ligne pour être déclaré sorti. Un ballon mordant sur la ligne, même d’un millimètre, est toujours considéré en jeu. C’est pour cela que la Goal-Line Technology est si utile sur la ligne de but.

Quelle est la zone d’action du gardien de but ?

Le gardien peut toucher le ballon avec les mains uniquement à l’intérieur de sa propre surface de réparation (le grand rectangle de 16,5 m x 40,32 m). Il n’a pas le droit de le faire sur toute sa moitié de terrain.

À quoi sert l’arc de cercle devant la surface ?

Il sert à garantir que tous les joueurs (sauf le tireur et le gardien) se trouvent à une distance d’au moins 9,15 mètres du ballon lors d’un penalty. C’est une zone d’exclusion temporaire pour assurer que le duel se déroule équitablement.

Rédigé par David Martin, Éducateur sportif diplômé du BMF et responsable d'une école de foot dans un club amateur de la région parisienne depuis 12 ans, David est un expert de la pédagogie par le jeu. Il a vu passer des centaines d'enfants, des futurs talents aux simples passionnés du mercredi après-midi.